Gabrelle récupère le tout et revient les bras chargés vers le groupe. 

-Je peux vous accompagner? J'ai pas mal de choses à travailler moi aussi... A la forge comme à la menuiserie je pense.

Vous trouvez la forge sans mal.
Du coin de l'œil, Saska, tu remarque du mouvement.

Faënil, tu trouve plus grand chose sur le campement. Une selle d'armée, et une dague en fer.

Vladimir eut l'air surpris quelques instants.

"Ah, hum, très bien..." Il se retint d'ajouter que c'était lui que cela risquait de mettre mal à l'aise.

Une fois dans la forge, il s'assoit pour regarder Saska faire.

"Si vous... si tu as besoin d'assistance..." il hésita une seconde entre l'emploi du prénom de l'elfe et celui du terme mademoiselle, et conclut qu'utiliser le dernier sonnait faux avec le tutoiement. "Saska, je peux t'aider, il faut juste me guider un peu."

(J'ai édit le message du dessus)

En atteignant la ville, je constate qu'il y a eu des combats récemment. Je sens encore l'odeur du sang et des cendres. 
Je regarde derrière moi si les chasseurs m'ont suivis. A priori, il m'on laissé du répit. Ouf, je vais pouvoir enfin souffler. Je commence à explorer cette ville tout en me reposant un peu, évitant de faire trop d'effort. Mais je reste sur mes gardes, il y a peut-être encore des combats et je ne veux pas retomber dans un conflit.
-Foutus chasseurs ,dis-je tout en reprennant mon souffle, ils ont failli avoir ma peau.
Je constate que ma curiosité avait encore une fois prit le dessus sur ma survis. Il faut que je change ça rapidement si je veux survivre.
Essouflé, je me laisse tomber contre un mur essayant de reprendre mon souffle.

Vladimir assiste Saska.

En effet mais là où j'ai simplement appris l'Histoire, vous l'avez vécue, je me doute donc que certains détails diffèrent. Ces épées en sont un exemple, on les disait égarées, en aucun cas brisées.
Maximilien se baissa pour examiner les morceaux de ce qui fut de puissantes armes, dire que de nombreux chasseurs de trésors et archéologues se damneraient pour ne serait-ce qu'un de ces morceaux.
Pensez-vous qu'un forgeron pourrait leur faire retrouver leur gloire d'antan ou leur puissance est-elle perdue à jamais ? Elles pourraient être utile face à un Dieu maniant des armes forgée par un de ses confrères... D'ailleurs Cyclone est-elle déjà en sa possession ?
Dans le cas contraire, récupérer cette épée avant Halsing deviendrait prioritaire...
Je vous en pris, mes compétences ne sont pas exceptionnelle, je ne fais que mon devoir.
Puisque vous parlez de Guerin...
Le médecin tourna son regard vers ce qui restait du château.
Il a profité de l'effondrement pour fuir, n'est-ce pas ? 
Maximilien a également noté qu'elle avait ignorée les questions sur sa famille et sur Guerin, volontairement ou non ? Autre chose le dérangeait au sujet de cette femme mais force est de constater qu'elle en savait plus qu'eux et qu'il n'y avait d'autre choix que de lui faire confiance.

Gabrelle les laissa s'occuper des affaires de Vladimir. En attendant son tour, elle fait le tour de la forge pour vérifier si il n'y a pas quelque chose d'intéressant à récupérer ou utiliser. Peut être pourrait-elle trouver quelque chose d'intéressant pour ses armes... 
Elle était heureuse d'avoir retrouver une lance car l'arme lui était beaucoup plus familière que l'épée. L'arbalète serait sûrement très utile également mais c'était son arme de prédilection qu'elle comptait améliorer avant tout. Une idée lui vint en tête. Elle s'adressa à Vladimir:

-Dites moi, je voulais améliorer cette lance en profitant de la forge... Mais il devrait être possible de l'enchanter également non? Peut être grâce à des runes...

Vladimir lui sourit.

"C'est dans mes cordes. Quel genre d'enchantement vous plairait ?"

Bien, vous reforgez la baguette de Vladimir. Lorsque tu la reforme, Saska, les runes brillent fortement pendant quelques secondes. (+1 en forge). Tu te fais une Hallebarde en acier normale.

Gabrelle, tu trouve deux lingots d'acier, et un lingot d'argent, ainsi qu'un kit de polissage.

Saska et Vladimir, vous entendez une voix qui sort des décombres non loins... Un homme affublé d'une crinieres et d'oreilles de loup passe rapidement devant vous, et disparait.
(Néo, tu pourrais utiliser la 3eme personne du sing. S'il te plait^^)

Maximilien, tu continue de parler avec Taahra. Elle defait un peu son gambison, et souleve sa chemise. De la hanche, jusqu'au milieu de la colone vertebrale, il y a une grosse entaille encore un peu rouge.
"J'aurais besoin de votre aide... Voila ce que Cyclone peut faire... Et si vous tenez a reforger ces deux armes, sachez que vous le pouvez... Mais je ne sais pas si vous trouverez les morceaux. Sinon, ce sont deux épées puissante mais leurs utilisation est ardue. A vrai dire, je prefere mon arme."
Taahra soupire quand tu parle de Guerin.
"Ouai... Il est partit... On le retrouva je le pense, sur le chemin du desert chaud d'Istrad je pense."

Tout en prenant ce qu'elle trouvait, Gabrelle répondit : 

-J'aurais aimé la rendre plus... Solide. Pour éviter qu'elle ne se brise ou qu'elle s'abîme trop aisément. 

Elle prit la lance des deux mains et la rapprocha de ses yeux pour l'examiner, comme pour chercher d'hypothétiques faiblesses.

"Merci, Saska, vous... je veux dire, tu m'as été d'une grande aide, dites-moi si je peux vous rendre la pareille", remercia Vladimir en observant son arme sous toutes les coutures.

"Quant à vous Gabrelle, bien entendu. Si cela peut vous faire plaisir, je peux tenter de vous faire cela."

Cela dit, il sursauta quand il entendit le bruit, supplanté d'une sorte d'ombre qui passa sans rien dire.

"Vous n'avez rien vu ?"

Et bien nous avons déjà ces fragments-ci, peut-être trouverons-nous les autres. De là à savoir qui les maniera, nous aviserons plus tard.
Nous le reverrons certainement, mais cette fois il n'y aura pas de surprise.
Aïe, de loin la blessure paraissait déjà mauvaise de par sa localisation. Le médecin alla donc examiner la plaie pour en déterminer la gravité et voir ce qu'il pouvait faire. En revanche ce serait mentir de dire que ça ne l'arrangeait pas d'observer les dégâts causés par l'arme avant d'affronter son détenteur.

"Faites attention, Saska, je ne veux pas vous... bon sang ! Je ne veux pas te retrouver encore avec le ventre ouvert."

Il la suit et brandit son bâton, sur ses gardes.

Mest sentit que des individus venait vers lui, ces sens ne l'ont jamais trahis. Ses oreilles étaient droites et à l'affut de tout bruits. Maudits chasseurs, ils l'avaient rattrapé. Il entendit leurs conversations. S'il venait pour lui prendre sa fourure, il était certains qu'il n'allait pas se laisser tuer sans rien faite.
Se mettant en garde, le pied légèrement levé prêt à assener un coup de pied. Mais il ne devait pas taper le premier, et si ces personnes étaient des villageois.

-Soyez maudit chasseurs, vous ne pouvez pas me laissez tranquille! s'exclama Mest.
Les sens au aguet, prêt à fondre sur son ennemi s'il obtient la confirmation qu'ils étaient ces salopards de chasseurs

Vladimir sursauta quand il entendit la voix raisonner. Il y avait bien quelqu'un ici.
Puis il haussa un sourcil.

"Que... quoi ?"

Il ne savait toujours pas s'il s'agissait d'un ennemi ou d'un civil quelconque, aussi resta-t-il sur ses gardes.

Deljan comptait les quelques balles qu'elle avait trouvé en chemin, tandis qu'elle les rangeait dans une poche. Elle s'était délestée de sa belle robe entre temps, celle ci étant déjà bien assez abîmée, et planifiait de la faire recoudre par le prochain couturier que le groupe croiserait. Aussi, elle se baladait de nouveau en chausses, cette fois ci de tissus relativement confortable, volé sur un serviteur juste après la robe, et en tunique de laine, qu'elle n'avait pas eu le temps de changer en revanche.

Il lui fallait aussi d'autres flèches. Avec un peu de chance, la forge du coin tenait encore debout, et un forgeron avait toujours des flèches en stock, pas vrai ?

Sa première surprise en arrivant fut de trouver, affairés à diverses réparations, l'elfe noire, l'humaine et la liche de son groupe.
La deuxième fut un énergumène qu'elle n'arrivait pas à définir. Il semblait prendre ses compagnons pour des chasseurs.
Jetant un oeil à sa nouvelle arme à feu, négligemment posée sur son épaule et retenue par son coude, tandis que son arc et ses flèches étaient à leurs places respectives dans son dos, elle lâcha un léger rire face à l'ironie de la situation, incertaine cependant de si le bougre l'avait vue.

Mest été en mauvaise posture, il sentit qu'un nouvel individu approchais. Il se concentra sur sa respiration. Il fallait qu'il se sorte. Raaaaa, il se sentit encerclé. Il attendait toujours  la réponse de ces individus.
-Qui êtes vous, des chasseurs, des esclavagistes, ou pire les deux ,cria Mest! 
Il essaya tant bien que mal de retenir sa colère et sa peur qui le fit hérrissé son pellage.

Vladimir haussa un sourcil.
Il fallait tenter de calmer son interlocuteur.

"Vous avez oublié une option. Si je vous réponds aucun des deux ?"

Une autre option? Il y en avait jamais eu d'autres pour lui. Démon, garou, démon, garou. Sans cesse on l'avait appelé ainsi. Mais étrangement, Mest se senti en confiance, trop en confiance.
-Et bien si vous n'etes aucun des deux, alors montrez-vous. Je me tiendrai à distance de vos flèches si cela vous plait. 
Mest était sur ces gardes, mais il devait savoir. Il ne voulait pas encore tuer d'autres civils par mégarde.

Deljan croisa les bras comme elle put l'espace d'un instant, avant de reporter son attention sur la recherche de flèche, laissant à Vladimir le soin de la diplomatie.

Elle en alla néanmoins, d'une voix légère, de sa petite remarque au sujet des esclavagistes dont la seule évocation lui rappelait des souvenirs dont son orgueil se serait passé :
"Permettez moi d'ajouter que le premier esclavagiste qui croisera ma route aura la gorge tranchée pendant son sommeil ou s'étouffera inexplicablement au prochain repas qu'il prendra."

Elle était quelqu'un de naturellement rancunier. Mais au moins à l'égard de ces gens là, cela paraissait normal.