"C'est là !" fit Eléa. Elle se tourna vers Mika. "Toi, tu dégages."

Je te laisse continuer Mae décris les lieux, les conversation. Tu es libre la dessus

-Ok, j'ai compris.

Il descend de la voiture. Et regarde dans leur décision.

-Désolé

Tout cela est de la comédie, mais il joue sur la corde sensible.

Mika attendit un peu avant de piquer une voiture d'un mec trop long à retirer ces commandes. Il va essayer de poursuivre les autres en gardant une bonne distance.

Elea, tu entre dans le bar avec la bombe... Et tu remarque qu'il n'y a plus personne. Derrière le bar ce trouve une équipe de la brigade scientifique de Paris.
"Sortez d'ici, ce bar est une scène de délit grave."
Cela à du ce passer il y a quelques heures vu qu'il n'y a plus que la scientifique sur les lieux.

Mika, tu vole donc une voiture.

Mika préfère rester discret et reste en retrait pour l'instant. Il observe les agissement d'Eléa discrètement.

Lionel avait suivi d'un oeil curieux. Le fait qu'on les chasse du bar ne l'avait presque pas étonné, il avait souvent l'impression que les arrestations étaient quotidiennes, qu'elles soient contre la fondation ou juste à cause d'individus trop agités. 

"Et on s'en va où comme ça avec une voiture volée ?" lâcha-t-il à voix basse à Éléa alors même qu'ils étaient assez éloignés pour que personne n'entende. Il n'était même pas ironique, de toute façon ce n'étaient peut être pas les robots qui avaient envahi le bâtiment qui allaient déposer plainte à la gendarmerie.

"Au fait, c'est quoi ton nom ?"

Non parce que le gamin louche éloigné, il n'y avait pas de raison de continuer à l'appeler "machine" ou "la fille" dans le flot de ses pensées.

"Enchanté."

Il remit le contact avec les codes piratés. Cette Eléa avait le mérite d'être utile, et il avait bien l'intention de se mêler de ses affaires, même s'il ne formulait pas ça de cette façon.
Il prit donc la route en suivant de nouveau ses indications.

Bon, ce coup-ci je laisse la description à Mae! Elea elle a bien dit qu'elle allait chez elle!

(Le MJ qui se venge /pan/)

Les rues étaient encore désertes à cette heure-ci. Et peu sûre à cause de l'état de délabrement de la zone. Mais si l'on connaissait les endroits à risque, comme Eléa, tout se passait bien. Elle s'engouffra dans une petite rue entre deux bâtiments à l'air ancien sans aucune fenêtre. Cette rue déboucha sur ce qui pourrait être un pavillon. Ou ce qui avait pu être avant que des maisons de fortunes ne se soient construites, ainsi que des immeubles. Eléa se dirigea vers une de ces maisons pavillonnaires à la taille plus que restreinte et entra sans frapper.

"C'est moi !" lança-t-elle à l'attention de sa famille d'adoption.

Une petite femme assez rondelette sortit d'une pièce pour venir les accueillir.

"Oh ma petite Eléa, tu es blessée ? Ma pauvre chérie, viens, je vais te soigner.
- Plus tard m'man.
- Non, plus tard ça veut dire jamais avec toi !"

Eléa se fit traîner dans ce qui pourrait être le salon bien qu'il soit assez vide. Juste une table basse et un canapé au confort... quasi inexistant où elle se fit asseoir. La petite dame convia Lionel à s'installer avant de disparaître dans une autre pièce.

Bon, eh bien, il ne peut qu'attendre. Encore une petite maison appartenant à une victime de l'idiotie humaine, condamnée à vivoter parce qu'il y a difficilement moyen de faire mieux pendant que d'autres s'en mettent plein les poches en trafic ou en impôts. 
Après toutes les années passées à se errer aux quatre coins de la ville, Lionel n'était même plus étonné par ce genre de spectacle. En fait, rentrer chez lui aurait été plus dépaysant à ce niveau.

Jack décroche après peu de temps.
"Ma petite Elea! qu'est-ce que je peux faire pour toi?"

"Ah? Euh oui. Enfin je crois."
tu entend un petit silence.
"Oui, presque tout le monde va bien. Damien Guel c'est fait chopé mais tu le connais, il reste jamais longtemps en cabane."