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[Fiche Personnage] Alma Gimmenez, Gryffondor alone.
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Chayes
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MessageSujet: [Fiche Personnage] Alma Gimmenez, Gryffondor alone. [Fiche Personnage] Alma Gimmenez, Gryffondor alone. EmptyJeu 6 Aoû - 4:20
NOM : Gimmenez
PRENOM : Amalenna
SURNOM : Alma
ÂGE : 11 ans
SEXE : Féminin
SEXUALITE : Indéterminé 

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~¤~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Spoiler:

DESCRIPTION :

Amalenna est née dans les montagnes d'Andalousie. Sa mère travaille en tant que voyante et trafiquante de charmes pour un cirque magique très populaire dans le monde moldu, mais assez illégal pour le monde des sorciers.

Jusqu'à ses neuf ans, la jeune sorcière fut élevée au cirque dans la pure tradition des sorcières gitanes par sa mère, excellant dans l'art de la voyance et des enchantements de beauté et d'amour, et femme versatile et séductrice de son état. En effet le père d'Alma, en rien relié avec le monde des sorciers, était un jeune homme d'affaire ayant un jour été invité au cirque par un collègue, et dont l'égo et la confiance en soi avaient donné envie à la mère de jouer avec lui jusqu'à le pousser à coucher avec elle.
Physiquement, Alma avait hérité de lui ses cheveux bruns et lisses, toutes les femmes de la famille les ayant noirs et bouclés, ainsi que ... sa myopie.

Les lunettes étant très difficiles à obtenir pour diverses raisons, dont l'illégalité totale de la situation de sa mère, celle ci tenta difficilement de régler le problème par des charmes et sortilèges qu'elle ne maîtrisaient pas bien, n'ayant elle même jamais fréquenté d'école de magie.
La première manifestation magique de la petite fille fut d'ailleurs, à partir de ses sept ans, une compensation progressive et de plus en plus efficace de ses problèmes de vue par des tâtonnements magiques qu'elle même ne percevait pas spécialement. Du moins cela lui semblait normal.

De sa mère, elle tenait ses yeux d'un vert olive peu commun chez les moldus, son teint basané ainsi qu'une aptitude certaine dans la voyance.

Alma apprit donc depuis sa plus tendre enfance sous la tutelle autoritaire de sa mère, à lire les signes et les cartes et, dès qu'elle en fut capable et malgré l'illégalité de ces enseignement hors écoles de magie, la voyance dans son état le plus difficile, ainsi que la préparation de certains charmes et objets relatifs à la chance, l'amour ou la beauté, que les clients du cirque payaient très cher auprès de sa mère, bien que ses résultats, comme pour n'importe quel enfant novice, surtout à cet âge, étaient ridiculement mauvais.
Elle apprit également les bases de la danse orientale affectionnée par presque chaque femme de sa famille depuis des générations et dont sa mère donnait également des représentations au cirque.

L'enseignement des arts occultes chez les sorciers itinérants était en général le fait de la transmission d'un parent à son enfant plus que la fréquentation d'une école de magie, tout interdit que ce fut.

Elle se serait probablement améliorée au fil du temps si son père, des années après sa conception, n'avait pas eu vent de son existence.

En effet comme le cirque passait dans sa région, l'homme d'affaire désormais accompli, poussé par la curiosité et ses vieux souvenirs de la mère d'Alma, avait décidé de retourner au cirque où il savait que la voyante exerçait toujours.
Si ce n'était pas le premier homme à revenir la voir après avoir passé une nuit avec elle, c'était le seul à lui avoir laissé un enfant. Aussi la mère d'Alma se fit prudente et cacha sa fille dans sa loge toute la soirée et accueillit son ancien amant avec une certaine sécheresse.

Cependant la petite, affolée par le comportement de sa mère et très peu habituée à l'enfermement, fut prise d'angoisse et fouilla dans les petits charmes de chance que cette dernière cachait un peu partout dans sa loge.
Grâce à une broche enchantée, la fillette parvint à ouvrir la porte et à sortir au grand air.
Pleurant son angoisse et son incompréhension, elle rejoignit sa mère qui conversait très cordialement avec un inconnu et s'agrippa à ses jupons, provoquant chez celle ci une fureur qu'elle n'avait jamais vue jusque là.
Il ne fallut pas beaucoup de temps à son père pour faire la liaison entre l'âge de la gamine et le comportement de sa mère, et entrer à son tour dans une colère noire.
Un des membres du cirque emmena la petite dehors pour lui épargner la dispute qui s'en suivit.

Un peu plus tard, ses parents la rejoignirent dehors, et l'homme qui lui était alors inconnu lui posa tout un tas de questions, usant d'un ton plus doux que ce qu'elle avait entendu précédemment. Il lui demanda de lire les mots des pancartes du cirque. Voyant que la petite fille y parvenait, il sortit un livre et lui demanda de lire quelques phrases. Elle en fut incapable.
Il écrivit ensuite sur une feuille quelques calculs simples pour une enfant de son âge. Si elle parvint à effectuer les plus basiques, elle s'arrêta très vite, mentant malhabilement en parlant de sa myopie, qu'elle avait hérité de lui. L'homme lui dicta donc les calculs, mais elle se remit à pleurer, regardant tour à tour cet étranger qui la confrontait à des choses incompréhensibles, et sa mère dont l'expression se faisait de plus en plus déconfite à chaque mauvaise réponse.
Une nouvelle dispute éclata entre les deux adultes alors que la petite fille, plus perdue que jamais, tentait d'écouter et de comprendre tandis que l'étranger parlait à une vitesse affolante, avec son accent incompréhensible des villes. Il était question d'école, de mathématiques, de papiers et d'avocats.

Quelques jours passèrent, durant lesquels elle ne parla quasiment pas à sa mère, avant que la fillette ne revoie l'inconnu qu'elle avait assimilé comme étant probablement son père. Bien évidemment, elle savait qu'elle en avait un, mais sa mère n'avait jamais semblé y accorder d'importance jusque là, alors elle l'avait imitée.

On ne lui laissa pas le choix, et elle fut finalement confrontée à la science moldue lorsque son père l'emmena faire des tests ADN pour le procès.
Ledit procès ne prit que très peu de temps. Tout semblait indiquer son père comme le tuteur légitime de l'enfant, selon les lois moldues. Il avait une situation stable et confortable, tandis que sa mère n'avait même pas déclaré sa fille, ne l'avait pas scolarisée, et vivait dans une situation "précaire". Ils n'avaient bien évidemment aucune idée des dehors magiques de cette histoire abracadabrante.
Sa mère se savait dans l'impasse. Elle ne pouvait pas gagner le procès au niveau des moldus, ni recourir au ministère des sorciers, étant une illégale pour eux aussi.

A neuf ans, Amalenna fut donc reconnue par son père, et plongée tout à coup dans un univers totalement différent du sien.
Il se passa un certain temps avant qu'elle ne cesse de se méfier de son nouveau tuteur. Elle savait qu'un père n'était pas censé faire de mal, son esprit de petite fille était prompt au pardon, et même si il lui avait retiré tous ses repères, il se montrait gentil et la laissait tout de même de voir sa mère aussi souvent que l'amertume de cette dernière le permettait.
Sentir sa mère aussi froide ne faisait que la rapprocher de son nouveau père, qui se son côté faisait de son mieux pour lui créer de nouveaux repères le plus vite possible, s'étant vraisemblablement fait un devoir d'éduquer sa fille de façon convenable.
Pour un moldu.
 
Son inscription dans une école spécialisée fut d'une grande aide pour l'intégration d'Alma. Jusque là, elle n'avait que très peu fréquenté d'enfants de son âge, et se faire des amis fut probablement la meilleure partie des deux ans qu'elle passa avec son père.
Il lui fit également prendre des cours particuliers de mathématiques et de langues vivantes, lui permettant de rattraper quelque peu son retard au niveau des autres moldus. Elle s'avéra être une élève très travailleuse et plutôt douée dans les deux matières, éprouvant le besoin d'être au même niveau que les autres enfants de son âge.

Et il n'oublia pas de lui acheter une bonne paire de lunettes.
Celles ci lui permirent de cesser ses tâtonnements magiques qui empêchaient d'autres manifestations de ses pouvoirs. En contrepartie, cette capacité qu'elle avait jusque là à sentir les obstacles les yeux fermés s'estompa peu à peu, puisqu'elle n'en avait plus besoin, même la nuit.
Les moldus bénéficiaient effectivement d'une magie tout à fait différente : l'électricité.

Inconsciemment, la stabilité de sa situation lui plaisait beaucoup. Elle découvrait beaucoup de choses nouvelles chaque jour, avait une chambre où elle pouvait se reposer et beaucoup plus d'amis qu'avant, même si les membres du cirque qu'elle ne voyait plus et l'ambiance des soirées de spectacle lui manquaient.

Bientôt, de nouvelles manifestations magiques eurent lieu autour d'elle. Un jour elle ouvrait la porte au facteur sans être derrière la porte. Un peu plus tard c'étaient la télé et l'ordinateur qui cessaient de fonctionner au moment où elle marchait sur un lego et qu'elle se mettait en colère contre le pauvre objet. Pas de chance pour le rapport que son père était en train de rédiger, d'ailleurs.

Sa mère quant à elle n'avait pas bien vécu cette crise familiale.
Il était tout à fait normal que le fait que sa seule fille lui soit retirée lui reste en travers de la gorge, mais venait s'ajouter à cela une répulsion inconsidérée à l'idée que son enfant devienne la parfaite petite moldue, et ce même si cette dernière y trouvait son compte.
Elle n'était cependant pas du genre à renoncer si facilement et décida après avoir envisagé beaucoup d'autres options qui aboutissaient toutes à un procès dans un monde ou l'autre, de signer l'inscription de sa fille à Poudlard à l'insu de son père, l'Espagne ne bénéficiant pas d'école de sorcellerie. Inscription qu'elle aurait rejetée si tout s'était passé normalement, bien qu'elle sût à quel point les lettres de Poudlard étaient persévérantes. Sa mère à elle avait bien réussi à s'en débarrasser, après tout.
Le monde des sorciers reconnaissait chaque enfant doté de pouvoirs magiques, et si sa fille voulait une école et des amis plutôt que la vie des itinérants, alors au moins, ce serait entourée de sorciers qu'elle évoluerait, et non pas avec des enfants moldus. Sans s'en rendre compte, la mère d'Alma agissait probablement selon le dicton du "Si je ne peux pas l'avoir, personne ne l'aura".

Ainsi, quand la lettre d'inscription arriva sous les yeux de son père, la petite Alma était déjà inscrite, et sa mère avait préparé le voyage. Celle ci dût d'ailleurs faire profil bas pendant toute une année pour faire oublier son existence aux administrations du monde des sorcier par la suite. Son père obtint de garder la fillette pendant les vacances d'été, cependant.

C'est donc une petite fille à bout de nerfs qui partit pour l'Angleterre, pays qu'elle ne connaissait quasiment pas et dont elle maîtrisait juste les bases de la langue. Elle s'était tellement mise en colère en apprenant qu'elle devait de nouveau quitter tous ses repères qu'elle n'était plus capable que de ruminer dans le train, puis dans le bateau, puis à nouveau dans le train, puis enfin dans le chemin de traverse. Néanmoins, son goût de l'apprentissage et la découverte du monde des sorciers éveillèrent quelque peu son intérêt par delà toute son amertume d'être trimbalée sans qu'on ne lui demande jamais son avis. Lorsqu'elle eut retrouvé un peu de son énergie, elle fit connaissance avec quelques élèves dans le Poudlard Express, sa nature sociable reprenant le dessus malgré tout ses efforts pour continuer de ruminer. 

Elle retrouva son énervement à Poudlard, le froid de la région lui rappelant méchamment à quel point le climat espagnol était doux, tandis que le discours de MacGonnagal, les maisons, la coupe des écoles, tout lui semblait superflu.
Le Choixpeau Magique décida en raison de son caractère agité et de la confiance nouvelle qu'elle tirait dans l'énervement, de l'envoyer à Gryffondor.
Ses sautes d'humeur n'entachaient en rien sa volonté d'être aussi bonne que les autres dans chaque discipline, la fierté de ses bons résultats l'aidant à se remettre de tous ces changements. Elle continua également d'apprendre les sciences grâce à des livres envoyés par son père, et progressa rapidement en langue grâce au contact permanent des anglais.




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MAISON : Gryffondor 

BAGUETTE : Laurier, coeur en plume de phénix, 26,75cm, légèrement élastique.

ANIMAL : Alma n'avait pas envie d'en adopter. 

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AUTRE ? : Je défie quiconque de me battre niveau taille de l'histoire.
Je ne sais vraiment pas pourquoi je l'ai autant détaillée, d'ailleurs. J'ai tout inventé en une journée, en plus, c'est pas un vieux perso ou quoi.
P.S : La mère d'Alma aurait carrément été une Serpentard.

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Maëlys Tremblay
Maëlys Tremblay

http://maelys-tremblay.fr

Maîtresse du Fouet




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Fiche Validée

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